Au petit matin, nous avons senti l’air frémir d’une nouvelle particulière : Objectif Gard consacre un reportage à AC Paysage. Ce reportage donne la parole à Anthony Caietta, le fondateur, ainsi qu’à l’ensemble de notre équipe, pour partager notre passion commune pour les arbres et la nature. Cette reconnaissance locale tombe comme une rosée bienvenue sur nos cordes et nos scies, elle raconte la même histoire que nous murmurent les troncs chaque jour : aimer l’arbre, c’est d’abord le comprendre. Cet article reflète notre engagement à allier respect de l’environnement, expertise technique et satisfaction client dans chacune de nos missions.
Un article qui met des racines sur papier
La rédaction d’Objectif Gard est venue jusqu’à Bellegarde pour saisir le quotidien de notre équipe : des arboristes-grimpeurs qui, souvent suspendus à dix mètres, applaudissent le bruissement d’une branche saine comme d’autres saluent un accord parfait. Le journaliste rappelle que nous avons fondé AC Paysage en 2010 avec une conviction simple : chaque chantier doit commencer par un diagnostic vivant, pas par la tronçonneuse.
Il souligne aussi que 70 % de nos interventions servent les particuliers, tandis que le reste répond aux besoins des collectivités gardoises et des départements voisins. Ce regard extérieur confirme ce que vous percevez déjà quand nous arrivons chez vous : nous préférons éclaircir plutôt qu’écimer, préserver plutôt qu’abattre.
« Rien ne se perd » : notre cercle vertueux
Objectif Gard insiste sur notre refus du gaspillage : les copeaux retournent enrichir le sol, le bois de chauffage réchauffe des familles, et les souches, broyées sur place, laissent la terre intacte pour accueillir une nouvelle essence. Ces gestes de terrain forment la charpente invisible d’une gestion durable qui, année après année, fertilise la confiance entre vous et nous.
Sécurité et savoir-faire au sommet
Le reportage rappelle que « sans son homme de pied, l’élagueur n’est rien » : une maxime que nous vivons corde après corde. Travailler à deux, renouveler le matériel chaque saison, former nos jeunes grimpeurs au diplôme national, voilà comment nous faisons de la hauteur un terrain de sérénité, pas de risque.
Trois valeurs qui guident chaque coupe
Avant d’enfiler le baudrier, nous laissons toujours ces principes orienter notre main :
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Écoute du vivant : observer la circulation de la sève, la forme naturelle du houppier, les signes subtils de stress hydrique.
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Transmission : expliquer au propriétaire pourquoi une éclaircie vaut mieux qu’une taille sévère et comment un paillage préserve l’humidité estivale.
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Régénération : proposer de planter un sujet adapté après chaque abattage inévitable, afin que le jardin continue de respirer.
Comment, chez vous, honorer la même passion ?
Après la lecture de l’article, beaucoup nous demandent : « Que puis-je faire, dès ce week-end, pour choyer mes arbres ? » Voici quelques pistes simples à mettre en œuvre dans votre propre canopée :
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Observer au fil des saisons : un carnet de terrain où noter floraisons, émergence de parasites ou fractures de branches.
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Alléger le pied : retirer gazon et géotextile au pourtour du tronc, puis installer un disque de broyat de 5 cm ; l’humus n’en sera que plus riche.
Une invitation au cœur du feuillage
En refermant ce papier, nous songeons au chêne vert qui borde la garrigue : il n’attend ni louanges ni trophées, seulement qu’on lui laisse la place d’approfondir ses racines. L’écho de l’article d’Objectif Gard nous rappelle que votre confiance fonctionne de la même manière : elle s’étend quand nous prenons soin, ensemble, des géants silencieux de vos jardins.
Alors, pourquoi ne pas relever un petit défi écologique cette semaine ? Choisissez l’arbre qui vous semble le plus en retrait dans votre jardin, un poirier trop ombragé ou un micocoulier en mal d’eau et offrez-lui un geste concret : paillage, apport de compost mûr, ou taille de lumière au sécateur. Écrivez-nous vos impressions : nous serons heureux de lire comment, pas à pas, votre parcelle devient le théâtre vivant d’un amour partagé des arbres.
Nous remercions Corentin Corger pour son article et ses photos !
Article sur le site Objectif Gard